Souvent rattachées aux secteurs de la finance ou de la technologie, les start-up couvrent pourtant des champs bien plus larges, notamment en ce qui concerne l’industrie. Selon la NACE (Nomenclature statistique des Activités Économiques), le secteur manufacturier est le second pourvoyeur de firmes à forte croissance en France, ce qui laisse à penser que les start-up y prennent une part importante. D’autant que la révolution industrielle en cours (4.0) a besoin de technologies de rupture et d’entreprises innovantes pour se déployer.
Souvent rattachées aux secteurs de la finance ou de la technologie, les start-up couvrent pourtant des champs bien plus larges, notamment en ce qui concerne l’industrie. Selon la NACE (Nomenclature statistique des Activités Économiques), le secteur manufacturier est le second pourvoyeur de firmes à forte croissance en France, ce qui laisse à penser que les start-up y prennent une part importante. D’autant que la révolution industrielle en cours (4.0) a besoin de technologies de rupture et d’entreprises innovantes pour se déployer.
Souvent rattachées aux secteurs de la finance ou de la technologie, les start-up couvrent pourtant des champs bien plus larges, notamment en ce qui concerne l’industrie. Selon la NACE (Nomenclature statistique des Activités Économiques), le secteur manufacturier est le second pourvoyeur de firmes à forte croissance en France, ce qui laisse à penser que les start-up y prennent une part importante. D’autant que la révolution industrielle en cours (4.0) a besoin de technologies de rupture et d’entreprises innovantes pour se déployer.
En juin 2020, la French Tech a répertorié 12 938 start-up sur le territoire national. Parmi elles, 1 416 jeunes pousses œuvrent dans le domaine manufacturier, soit plus de 10 %. On y retrouve notamment des activités comme l’intelligence artificielle, l’impression 3D ou la robotique / automatisation, qui forment le socle de l’industrie du futur. Par ailleurs, on remarque que les investissements étrangers à vocation industrielle sont particulièrement dynamiques en France : en 2019, le pays se plaçait en 2ème position après le Royaume-Uni et devant l’Allemagne, selon le cabinet Ernst & Young.
Les start-up, alliées de l’industrie face aux enjeux économiques et environnementaux
BPI France a récemment listé 12 enjeux auxquels l’industrie française est confrontée pour gagner en compétitivité. Parmi eux, « assister et innover sur la conception », « optimiser la logistique », « gérer et optimiser la chaîne de production » ou encore « maintenance et amélioration continue de la production ». Plus largement, on peut aussi y ajouter les économies d’énergie, l’industrie étant le quatrième contributeur d’émissions de gaz à effet de serre sur le territoire national, ou encore la digitalisation des process qui permet d’améliorer l’efficacité. Face à ces défis, des start-up se positionnent pour offrir des solutions innovantes. C’est par exemple le cas de DC Brain (Paris) et Fieldbox (Bordeaux), spécialisées dans l’optimisation des process industriels. MIP Robotic ou Tilkal, jeunes pousses parisiennes, répondent quant à elles à des enjeux de gestion de la production avec des solutions de robotique et cobotique. Enfin, on peut citer Bulane (Hérault), start-up qui produit des combustibles propres à partir d’eau et l’électricité, ou Sabella, basée à Quimper, qui fabrique des hydroliennes sous-marines.
En juin 2020, la French Tech a répertorié 12 938 start-up sur le territoire national. Parmi elles, 1 416 jeunes pousses œuvrent dans le domaine manufacturier, soit plus de 10 %. On y retrouve notamment des activités comme l’intelligence artificielle, l’impression 3D ou la robotique / automatisation, qui forment le socle de l’industrie du futur. Par ailleurs, on remarque que les investissements étrangers à vocation industrielle sont particulièrement dynamiques en France : en 2019, le pays se plaçait en 2ème position après le Royaume-Uni et devant l’Allemagne, selon le cabinet Ernst & Young.
Les start-up, alliées de l’industrie face aux enjeux économiques et environnementaux
BPI France a récemment listé 12 enjeux auxquels l’industrie française est confrontée pour gagner en compétitivité. Parmi eux, « assister et innover sur la conception », « optimiser la logistique », « gérer et optimiser la chaîne de production » ou encore « maintenance et amélioration continue de la production ». Plus largement, on peut aussi y ajouter les économies d’énergie, l’industrie étant le quatrième contributeur d’émissions de gaz à effet de serre sur le territoire national, ou encore la digitalisation des process qui permet d’améliorer l’efficacité. Face à ces défis, des start-up se positionnent pour offrir des solutions innovantes. C’est par exemple le cas de DC Brain (Paris) et Fieldbox (Bordeaux), spécialisées dans l’optimisation des process industriels. MIP Robotic ou Tilkal, jeunes pousses parisiennes, répondent quant à elles à des enjeux de gestion de la production avec des solutions de robotique et cobotique. Enfin, on peut citer Bulane (Hérault), start-up qui produit des combustibles propres à partir d’eau et l’électricité, ou Sabella, basée à Quimper, qui fabrique des hydroliennes sous-marines.
Comment entreprises industrielles et start-up peuvent-elles collaborer ?
Pour se développer, les start-up ont besoin de financements ou de l’appui de grands groupes industriels. Ces derniers peuvent intervenir sous plusieurs formes : incubateur, contrat commercial, co-développement, prise de participation (minoritaire ou majoritaire), voire même rachat. Chaque partie a tout à y gagner : possibilité de grandir et de pérenniser son activité pour la start-up ; opportunité d’acquérir plus d’agilité, de flexibilité et de souplesse dans les processus d’innovation pour le grand groupe.. Un partenariat gagnant-gagnant, avec, à la clé, encore plus de compétitivité pour l’industrie française.
Comment entreprises industrielles et start-up peuvent-elles collaborer ?
Pour se développer, les start-up ont besoin de financements ou de l’appui de grands groupes industriels. Ces derniers peuvent intervenir sous plusieurs formes : incubateur, contrat commercial, co-développement, prise de participation (minoritaire ou majoritaire), voire même rachat. Chaque partie a tout à y gagner : possibilité de grandir et de pérenniser son activité pour la start-up ; opportunité d’acquérir plus d’agilité, de flexibilité et de souplesse dans les processus d’innovation pour le grand groupe.. Un partenariat gagnant-gagnant, avec, à la clé, encore plus de compétitivité pour l’industrie française.
Comment entreprises industrielles et start-up peuvent-elles collaborer ?
Pour se développer, les start-up ont besoin de financements ou de l’appui de grands groupes industriels. Ces derniers peuvent intervenir sous plusieurs formes : incubateur, contrat commercial, co-développement, prise de participation (minoritaire ou majoritaire), voire même rachat. Chaque partie a tout à y gagner : possibilité de grandir et de pérenniser son activité pour la start-up ; opportunité d’acquérir plus d’agilité, de flexibilité et de souplesse dans les processus d’innovation pour le grand groupe.. Un partenariat gagnant-gagnant, avec, à la clé, encore plus de compétitivité pour l’industrie française.
Comment entreprises industrielles et start-up peuvent-elles collaborer ?
Pour se développer, les start-up ont besoin de financements ou de l’appui de grands groupes industriels. Ces derniers peuvent intervenir sous plusieurs formes : incubateur, contrat commercial, co-développement, prise de participation (minoritaire ou majoritaire), voire même rachat. Chaque partie a tout à y gagner : possibilité de grandir et de pérenniser son activité pour la start-up ; opportunité d’acquérir plus d’agilité, de flexibilité et de souplesse dans les processus d’innovation pour le grand groupe.. Un partenariat gagnant-gagnant, avec, à la clé, encore plus de compétitivité pour l’industrie française.