Modèle de convention gratuit avec zones de personnalisation.
Rédiger un contrat de travail peut être un véritable casse-tête pour qui n’en a pas l’habitude, ou pour qui souhaite tout simplement s’assurer de ne rien oublier. Découvrez ce que vous devez absolument faire figurer dans les CDI, ce que vous n’avez pas le droit d’écrire, et ce que vous pouvez ajouter.
obtenir ce document.
prévisualisation du document.
Les documents proposés en téléchargement sur randstad.fr n’ont pas pour vocation de se substituer aux conseils d’un professionnel. Ils sont proposés uniquement à titre d'exemples pour faciliter votre travail de rédaction et ne sauraient être exhaustif. Leur contenu ou leur utilisation ne saurait, en aucun cas, engager la responsabilité du Groupe Randstad France. Il vous appartient d'en vérifier la conformité avec les lois en vigueur et les règles et usages de votre entreprise.
Quand est-il obligatoire de rédiger le CDI ?
Seul le CDI à temps plein peut ne pas faire l’objet d’un écrit, et cela uniquement si la convention collective ne l’impose pas. Dans les autres cas (CDI à temps partiel ou intermittent), vous devez impérativement prévoir un document rédigé à faire signer à votre nouveau collaborateur. Attention : votre convention collective prévoit peut-être des dispositions particulières, sur la période d’essai par exemple, pensez à la consulter !
Ce qui doit y figurer
Lorsque le CDI doit être écrit, il est obligatoire d’y faire figurer les mentions prévues par le Code du travail, à savoir :
- Vos coordonnées et celles du salarié
- Une mention attestant la subordination du salarié à l’entreprise
- L’intitulé et le descriptif du poste
- Le lieu de travail
- La durée hebdomadaire du travail
- Le nombre de jours de congés payés et les jours de repos
- La rémunération (fixe, variable, primes et avantages divers)
- La protection sociale
- La convention collective
Ce qu’il est interdit d’y inclure
Les clauses contraires à l’ordre public sont bien sûr à proscrire. Cela inclut notamment :
- Les clauses de célibat
- Les clauses prévoyant une rémunération inférieure au SMIC
- Les clauses discriminatoires, quelle qu’en soit la raison (race, sexe, orientation politique ou sexuelle…)
Ce que vous pouvez ajouter
Il existe des cas particuliers en fonction des secteurs et des métiers. A vous de connaître les spécificités de votre entreprise et de votre activité et de négocier ces clauses avec votre nouveau collaborateur. Vous pouvez par exemple ajouter :
- Une clause de mobilité
- Une clause de non-concurrence
- Une clause fixant des objectifs chiffrés à atteindre
A noter
Attention : votre convention collective prévoit peut-être des dispositions particulières, pensez à la consulter !